Bonjour compagnons aventuriers ! Vous vous êtes sûrement questionnés quant à mon absence. Je vais vous raconter une histoire terrifiante et authentique. Je me préparais à une série d’expéditions de la plus grande importance vers Fornost. Je ne vous en ai pas informé pensant que vous étiez loin, vers les Monts Brumeux ou à Fondcombe. Cette forteresse m’intriguait, comme toujours, et je me souvins qu’après avoir récupéré les poignées de Morgul et scellant ainsi le sort des spectres de la forteresse, il restait toujours quelques démons orques, dont le frère de Zaukil, mon ancien pire ennemi. Ne vous inquiétez pas, je ne l’ai pas tué, pour l’unique raison que j’étais seul. Je me suis donc introduit tel un funambule au milieu de la forteresse, de nuit.
Mes sens au aguets, je marchais d’un pas sûr, pour aller voir l’Ourouk. Il y eut d’abord ce Maraudeur Blogmal, il pesait bien lourd a en voir sa bedaine, mais mon bouclier a eu raison de lui. Je continuais donc. Peu de temps après, je passais sous une porte aménagée dans une palissade en bois, sous les étoiles, en plein milieu de Fornost. C’est là. C’est là que j’ai entendu un râle, un râle sourd, primitif. Je me suis figé, et ai bien scruté les horizons : rien. Je m’avançais donc. Soudain, un Lieutenant Blogmal surgit d’en haut, il était perché sur le haut de la porte. Ses jambes musculeuses fléchirent à peine au contact du sol, et son immense marteau ensanglanté fonçait vers ma tête. J’eus juste le temps de rouler de côté, dans le même geste je tirais mon bouclier. Je déviais son prochain coup, le parant, sortit mon épée, me fendant puis portant un grand coup du haut vers le bas. Je n’entendrai plus jamais son râle.
Et c’est ce marteau qui me détacha de ma quête et de ma volonté que je croyais inébranlable. Ce marteau n’était pas une simple masse taillée dans de la pierre brute. Il avait des inscriptions dessus, et à voir l’aura sombre qu’il dégageait, il n’avait rien à faire entre les mains d’un simple lieutenant. Je m’arrêtais donc et retournait en arrière, afin de sortir et d’aller voir un vieil home de grand conseil, Gandalf le gris. J’eus appris qu’il se trouvait à Fondcombe. Je montais sur Vedrfölnir, ma monture achetée au festival d’été, et me rendis donc à Fondcombe.
Je trouvais Gandalf dans une chambre d’invités, et lui apportais l’objet de mes préoccupations, enveloppé dans un tissu. Il me dit que c’était un objet puissant, qui n’avait en effet rien à faire à Fornost, entre les mains d’un lieutenant Blogmal. Nous nous rendîmes à la bibliothèque d’Elrond. Celui-ci nous conseilla un livre sur le noir parler, Gandalf parlant l’elfique mais pas cette langue obscure et primitive. Nous apprîmes donc qu’il y avait marqué et gravé sur ce marteau :
« Tapecrâne, fléau des hommes,
Forgé en ces lieux pour servir Morgoth, »
Nous ne savions donc pas à qui il était destiné, probablement à un chef orque qui se l’était vu voler par des Blogmal jaloux. Mais il avait été forgé en Mordor pour aider la conquête du seigneur noir, et respirait le mal. Elrond le pris et alla le baigner dans les chutes d’Imladris, ce marteau n’en ressortit pas pur, loin de là, mais moins nocif, et Gandalf m’as dit que je pouvais le porter sans trop de risques tant que l’espoir guide mes pas. Je vous envoie un dessin de cette arme.
Mon récit est terminé, je vous préviens que je vais être absent quelques temps, afin de m'accoutumer à cette arme destructrice.
Mes sens au aguets, je marchais d’un pas sûr, pour aller voir l’Ourouk. Il y eut d’abord ce Maraudeur Blogmal, il pesait bien lourd a en voir sa bedaine, mais mon bouclier a eu raison de lui. Je continuais donc. Peu de temps après, je passais sous une porte aménagée dans une palissade en bois, sous les étoiles, en plein milieu de Fornost. C’est là. C’est là que j’ai entendu un râle, un râle sourd, primitif. Je me suis figé, et ai bien scruté les horizons : rien. Je m’avançais donc. Soudain, un Lieutenant Blogmal surgit d’en haut, il était perché sur le haut de la porte. Ses jambes musculeuses fléchirent à peine au contact du sol, et son immense marteau ensanglanté fonçait vers ma tête. J’eus juste le temps de rouler de côté, dans le même geste je tirais mon bouclier. Je déviais son prochain coup, le parant, sortit mon épée, me fendant puis portant un grand coup du haut vers le bas. Je n’entendrai plus jamais son râle.
Et c’est ce marteau qui me détacha de ma quête et de ma volonté que je croyais inébranlable. Ce marteau n’était pas une simple masse taillée dans de la pierre brute. Il avait des inscriptions dessus, et à voir l’aura sombre qu’il dégageait, il n’avait rien à faire entre les mains d’un simple lieutenant. Je m’arrêtais donc et retournait en arrière, afin de sortir et d’aller voir un vieil home de grand conseil, Gandalf le gris. J’eus appris qu’il se trouvait à Fondcombe. Je montais sur Vedrfölnir, ma monture achetée au festival d’été, et me rendis donc à Fondcombe.
Je trouvais Gandalf dans une chambre d’invités, et lui apportais l’objet de mes préoccupations, enveloppé dans un tissu. Il me dit que c’était un objet puissant, qui n’avait en effet rien à faire à Fornost, entre les mains d’un lieutenant Blogmal. Nous nous rendîmes à la bibliothèque d’Elrond. Celui-ci nous conseilla un livre sur le noir parler, Gandalf parlant l’elfique mais pas cette langue obscure et primitive. Nous apprîmes donc qu’il y avait marqué et gravé sur ce marteau :
« Tapecrâne, fléau des hommes,
Forgé en ces lieux pour servir Morgoth, »
Nous ne savions donc pas à qui il était destiné, probablement à un chef orque qui se l’était vu voler par des Blogmal jaloux. Mais il avait été forgé en Mordor pour aider la conquête du seigneur noir, et respirait le mal. Elrond le pris et alla le baigner dans les chutes d’Imladris, ce marteau n’en ressortit pas pur, loin de là, mais moins nocif, et Gandalf m’as dit que je pouvais le porter sans trop de risques tant que l’espoir guide mes pas. Je vous envoie un dessin de cette arme.
Mon récit est terminé, je vous préviens que je vais être absent quelques temps, afin de m'accoutumer à cette arme destructrice.